A l’occasion de la Journée Mondiale de la Contraception, Philippe David de Sud Radio interrogeait l’échec de la politique liée à la contraception : le chiffre des avortements (200 000) ne baisse pas en France. Comment l’expliquer?
Le courriel d’Harri Wettstein, fondation SymptoTherm, à la rédaction de Sud Radio, à la suite de l’émission:
« C’est aujourd’hui la journée mondiale de la contraception. C’est l’occasion où la santé publique célèbre d’habitude leur pilule et co. La symptothermie est toujours la grande oubliée, ignorée ou passée sous silence ou mis dans le sac des « méthodes naturelles douteuses ». Pourquoi:
Le plus grand tabou dans notre société est de critiquer la santé publique, haut et fort! Là vous vous faites « excommunier » tout de suite! Mais en même temps, il faudrait les critiquer très fort pour les faire sortir du bois!
Non seulement les planning familial du monde entier ne parlent pas du cycle de la femme de manière constructive mais, pire, les gynécos ne connaissent pas les lois d’observation qui gouvernent le cycle féminin. C’est hallucinant.
Donc les « tous » de votre émission c’est l’establishment médical, médecins, pharmas, planning à qui, en gagnant bien leur vie avec tout ce qu’ils nous font avaler, il aurait fallut donner la parole: c’est à eux de se justifier des échecs contraceptifs et du taux d’avortement, pas à nous.
En Suisse, les plannings essaient de dire et de prouver que les avortements ont diminué grâce à la contraception moderne. Mais elles « oublient » de dire que, en Suisse, environ 100’000 pilules du lendemain sont avalées chaque année et que ces produits provoquent aussi des avortements à un taux difficile à chiffrer. Donc on arrive aussi, en Suisse, à une nette augmentation des avortements. Je leur dis depuis 15 ans en Suisse que si les filles connaissaient leur cycle, elles seraient a) plus prudentes et b) elles ne consommeraient pas ces produits à gogo.
Il ne faut pas faire de l’autoflagellation à l’encontre de la France: c’est là que nous avons le plus de répondant pour l’instant, les autres pays c’est bien pire. »