« Nous sommes au XXIe siècle et pourtant les femmes sont toujours cloîtrées dans une forme d’obscurantisme. Il m’aura fallu attendre l’âge de 36 ans pour comprendre que j’étais une femme « normale » -même si nous sommes toutes uniques :-). En effet, depuis l’adolescence, j’ai été intoxiquée par un grand mythe, mythe transmis par certains médecins et gynécologues : la question des pertes blanches ».
Lire la suite sur : pryskaducoeurjoly.com