Prises une à une, les méthodes naturelles ont montré leurs limites selon l’indice de Pearl, qui quantifie le pourcentage d’échec d’une technique. Mais en combinant l’observation quotidienne de plusieurs indices de fertilité, on augmente la fiabilité contraceptive. C’est le cas de la symptothermie : mise au point dès 1965 en Autriche par le Dr Rötzer, cette méthode se voit perfectionnée grâce à des algorithmes qui fiabilisent les données et éliminent au maximum les erreurs d’interprétation.
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